ALIAS - Trop. Kinda, Morfessa, Madame, Belladone, No'SEXE - Féminin ÂGE - 3442 ans ORIENTATION SEXUELLE - Pansexuelle à ce qu'on dit. MÉTIER - Apothiquaire
D'AUTRES IMAGES - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
JE SUIS - Une sorcière du folkore.
POUVOIR - Basiquement, Noreen n'a aucun pouvoir, elle ne devrait même pas être dans son état de santé actuel et pour cause : Noreen est née humaine. Tous ses "pouvoirs" sont le fruit d'un laborieux travail. Incantations, métamorphoses, "divination", channeling … Tous ce qu'elle fait, vous pourriez aussi le faire … seulement, elle a trois millénaires d'expérience(s) qui jouent en sa faveur. Sa jeunesse même doit être renouvelée à l'aide d'une recette oubliée, que certains cherchent à deviner à travers des rumeurs et qu'elle garde égoïstement. Elle fait aussi partie des fabricants directs de Bluestrike, qu'elle se fait régulièrement "chourer". Selon elle, elle se sert des Fournisseurs comme d'intermédiaires commerciaux entre BadStories et elle. Le seul pouvoir a peu près "portable" qu'elle garde est celui de se métamorphoser en chat. Un chat trop grand, et à condition de garder des éléments félins sur elle (peau, dents, ossements, etc.) mais un chat quand même.
PSYCHOLOGIE
Alors que vous attendez devant la boutique de l'Apothicaire depuis de longues minutes, vous entendez un long miaulement retentir dans la rue. Les yeux fluorescents d'un chat brillent, braqués sur vous, alors que l'animal se rapproche pour se frotter rapidement à vos jambes. Un géant félin de la taille d'un Maine Coon avec cependant la silhouette de n'importe quel chat, à la silhouette fluide, délicate et élégante et au pelage soigné noir de nuit si ce ne sont quelques tâches blanches ; comme si le félidé avait trempé ses doigts dans du lait et qu'il s'en était de plus renversé sur lui en buvant. Elle, car il semble que le matou soit une minette, lève sa tête triangulaire vers vous et miaule une seconde fois, révélant des pointes d'ivoire. Ses yeux vert mordorés semblent rire de vous.
Puis la minette vous abandonne, pénétrant dans la boutique vous ne savez trop comment. Puis plus rien. Le silence. Au bout d'un moment, vous appuyez sur la porte, à bout de patience. Surprise, la porte fermée s'ouvre à toute volée et vous manquez de vous vautrer dans l'étrange boutique.
En vous redressant, vous voyez une femme à la peau claire qui vous fixe d'un regard moqueur, narquois, olivâtre. (Puisque vous n'avez pas le compas dans l’œil, je vous aide : elle fait 1m65 pour 53kg) Difficile de savoir son âge. Un instant, elle vous semble avoir la jeune trentaine, puis 17 ans à peine, puis la bonne vingtaine. Hébété(e), vous observez cette silhouette fine, fluide, aux formes banales passer d'un bout à l'autre de l’échoppe, faisant mine d’effectuer les menus travaux communs à tous les magasins : arranger les pattes de diverses espèces, organiser les bocaux, trier les brins de sauge et les mandragores, épousseter les attrape-rêves, briquer un maneki-neko … Elle fait mine de vous ignorer, sautillant toujours ici et là avec un pas de jeune fille, un air de petit oiseau, mais vous remarquer, entre les mèches d'une chevelure mi-longue légèrement cuivrée bouclant anarchiquement, l’œil pétillant qui vous scrute encore et toujours. Son habillement n'a rien de bien spécial ou de coûteux mais il a du goût, avec ce charme simple, cette coquetterie de ceux capables de beaucoup avec trois fois rien. Tout en elle respire la moquerie. Vous le sentez, vous le savez par instinct : elle en sait plus que vous et cela semble l'amuser follement. Finalement, elle décide de prendre les devant. Elle vous a assez regardé prendre racine. Elle se retourne vers vous, une voix d'alto gouaille Vous venez acheter une langue, c'est ça ?
► Utilise souvent un vocabulaire vieillot, parfois argotique. ► Peut s'avérer une très bonne amie, mais ne remuera jamais le petit doigt pour vous si elle n'en a pas envie sur le moment. Ou si cela la contraint. ► A vu bon nombre de ses proches mourir et préfère aujourd'hui éviter de s'attacher. ► Semble dégoûtée à l'idée d'avoir encore des "marmoutards" dans les pattes. Yurk. ► Confond apparemment très régulièrement insultes et surnoms affectueux.
HISTOIRE
Chapitre 1 | En des temps immémoriaux:
Difficile de dire quand est née Noreen. Ou plutôt Morfessa. Ou plutôt Luaine. A l'époque où elle est née, on ne comptait pas les années, on les regardait juste passer avec une pointe d'inquiétude. Dans tout les cas, son père Cennmahr fut ravi de tenir cette petite chose hurlante dans ses longs bras couverts d'arabesque, tandis que Rodan, son frère aîné, la regardait avec des yeux méfiants. Tous le clan avait été obligé de s'arrêter pour laisser Findabair accoucher. Ce clan, ce peuple, ce sont les premiers Celtes. C'est dans ce peuple de nomade cherchant une terre plus fertile, dans cette culture riche et théocratique que naquit Luaine.
Ce fut une enfant banale, joueuse, pénible, gambadant entre les chariots, poursuivant le fils du forgeron et la fille du bouvier. Mais il y eut une chose que personne ne put lui reprocher : l'irrespect envers le clergé. Passionnée par les récits de leurs dieux et plus encore par cette aura émanant de chaque druide, de chaque barde, de chaque vate, elle changeait complètement de caractère en leur présence. Elle restait dans leur pattes, cherchait à participer aux rites, les harcelaient presque jusqu'à ce qu'à l'âge où l'on estimait que l'on devait lui apprendre quelque chose, on proposa d'en faire une vate, seule caste religieuse ouverte aux femmes. Un honneur inimaginable pour la famille, malgré les moqueries d'un Rodan mortifié dans son orgueil masculin. C'est ainsi que Luaine commença son apprentissage de la médecine et d'autres rites tels que la divination. A peu près à la même époque Findabair tomba à nouveau enceinte. Sa fille fut réellement ravie d'aider aux soins de la grossesse, jusqu'à l'accouchement. La mère s'épuisait, perdait beaucoup trop de sang. Elle vécut assez longtemps pour donner la première tétée à sa fille et pour exiger qu'on l'appelle Maav puis elle rejoint ses ancêtres.Un coup dur pour tous qui perdaient une amie attentive, une épouse aimante, une mère patiente. Maav fut confiée à une nourrice et la vie reprit son cours. Luaine termina ses "études" et devint vate. Mais rapidement, ce ne fut plus suffisant. Elle voulait plus. Bien plus. Elle étudia encore, perfectionnant son art mais elle s'aperçut vite d'un minuscule détail. Son père vieillissait et les druides plus encore. Ils vieillissaient, devenaient séniles, impotents puis mourraient, tués par la marche inexorable du temps et du peuple nomade. Et elle aussi, un jour, vieillirait. Sa jeunesse, sa beauté, ses talents, tout en elle se flétrirait et elle mourrait. L’abominable gâchis en perspective lui glaça le sang.Tandis que le clan continuait d'avancer vers un avenir plus verdoyant, elle chercha à stopper l'infâme processus. Et elle en trouva le moyen. Personne ne sait comment, ni quel en était le moyen. Seulement, pour rester jeune, il lui fallait, entre autres, un sang jeune.
Maav était, à ce moment, une enfant charmante, gazouillante, agaçante. Le genre d'enfant à s'éloigner du convoi. Le genre d'enfant à se perdre en cherchant des fleurs pour adoucir le cœur de sa sœur. Le genre d'enfant à sourire en la voyant alors arriver. Ce genre d'enfant.
Chapitre 2 | Le temps change:
Le père pleura un temps sa benjamine, l'enfant qui avait emporté sa chère femme. On l'imagina réduite en lambeaux par les bêtes sauvages, massacrée par un barbare ou emportée par un mauvais esprit. Puis la vie reprit son cours, eu pas lent des bœufs tirant les chariots.
Les années passèrent ainsi, régulières, inexorables ; avec comme dans tout peuple nomade, son lots d'incidents et de morts. Les choses sont ainsi. Les vieillards s'épuisent, les malades crèvent et les enfants mal surveillés disparaissent. Luaine quitta le clan lorsque son teint frais devint suspect mais continuait cependant de rôder à la manière d'une louve aux abords de celui-ci. Les décennies passèrent et tous ceux qui avaient connus Luaine moururent, et on l'oublia. La nouvellement nommée Morfessa rejoint alors le clan, commençant alors un drôle de jeu. Elle intégrait le clan lorsque la solitude l'ennuyait, le quittait quand les mortels l'agaçaient. Elle trouva un encore meilleur arrangement lorsque le camp se sédentarisa sur une île verdoyante. Elle bâtit sa "tanière" assez près pour rire des humains et profiter d'eux, assez loin pour ne pas les déranger et ne pas être trop souvent importunée.
Le temps passait mais pas elle. Elle refaisait ses tatouages lorsque l'encre s'estompait, changeait les motifs lorsque cela l'amusait. Elle entrevit les Romains, elle vit Saint-Patrick ridiculiser les druides, elle vit son art bafoué et méprisé, on commença à compter les années et elle s'ennuya de l'Irlande. Pour tromper les mysogynes de l'époque, elle se travestit et traversa vite fait la Gaule, où elle s'aperçut d'un détail : en bientôt mille ans d'existence, elle n'avait jamais connu d'homme. Détail qu'un jeune ibérique régla alors qu'elle continuait ses pérégrinations dans la gigantesque péninsule et d'y faire une autre expérience : la grossesse. Période paninquante s'il en est, avec l'excellent souvenir qu'elle avait des conséquences de la dernière grossesse de sa mère et les merveilleuses conditions de l'époque. Finalement, elle réussit à donner naissance à un petit Corvus, aux cheveux bouclés de la couleur d'une aile de corbeau, à la peau un peu mate et aux yeux olive. Sa merveille et son horreur. Ils traversèrent ensemble le golfe de Gibraltar, tandis qu'il l'émerveillait par son intelligence narquoise, son air de petit chat voleur. Puis elle l'abandonna, tout gamin encore, à une famille de nomades. Et comme toujours, la vie reprit son cours.
Chapitre 3 | Temps libre:
Elle écuma l'Afrique pendant des siècles, voyageant de village en village, à travers la jungle, la savane, les déserts, apprenant des sorciers et autres marabouts les coutumes de ce continent fascinant. Les femmes riaient, intriguée par sa peau d'ivoire tranchant sur leur peau d'ébène, cette peau qui brunissait un peu par l'effet du soleil réchauffant ses vieux os, cette peau qu'elle cachait, se changeant en drapé vivant, cachant encore plus honteusement son ventre qui gonflait et dégonflait. Et elle avait toujours besoin de sang, et la vie suivait son cours ...
Puis, alors qu'elle atteignait Jérusalem sous le nom de Ruth, elle vit quelque chose qui la mortifia. Un petit vendeur d'orange à la peau un peu mate, aux cheveux bouclés couleur corbeau, aux yeux rusés verts. Après discussion avec lui, elle comprit qu'elle voyait là son plusieurs fois arrière petit fils. Sensation troublante à laquelle elle allait devoir s'habituer. Elle resta un siècle à absorber les sciences d'Orient puis partit plus loin encore pour l'Asie.
Acupuncture, acupression, légendes, divination, nécromancie, tasséomancie ... Tout à apprendre ! Sa médecine s'améliorait à une vitesse folle, aidée, il faut l'admettre par ses cours de médecine "moderne" en Arabie ... et l'expérimentation.Ce fut aussi la première fois qu'elle porta un pantalon. Grande première. Elle eut encore des enfants et commença à s’inquiéter de l'état de son ventre. Fen quitta ensuite l'Asie pour repartir en Europe, refaisant à cheval le parcours qu'elle avait fait enfant. Ah ! que de souvenirs ! Ah ! que les choses avaient changé ! Elle continuait d'en apprendre tous les jours, participants avec plaisirs aux grandes fêtes des "sabbats" rassemblant de nombreux/ses "collègues". Qui sait si elle n'a pas dit certaines recettes fameuses une fois étourdie par l'hydromel ?
Chapitre 4 | Sale temps:
Elle continua sa vie semi-nomade à s'installer ici et là à chaque fois avec un nom différent jusqu'à arriver en France. Comme elle l'avait toujours fait, elle s'installait quelque part un temps, quelques années, y soignait tous ceux (mais surtout toutes celles) qui demandaient son aide puis repartait lorsqu'elle attisait les soupçons. Mais vint l'époque troublée de l'Inquisition.
En l'an de grâce 1473, elle était Marie-Jeanne, épouse de Jean-Renaud. Dès qu'il était parti, elle reprenait ses habitudes, les prolongeant même lorsqu'il était là en préparant ses simples ; ce qui était loin de plaire à Jean-Renaud. Tout comme il ne lui plaisait pas que Marie-Jeanne ne lui ait pas donné d'enfant en deux années de mariage. Ou qu'elle soit si maligne. Ou qu'elle réussisse toujours à se mettre "au dessus". Après une longue (très longue) réflexion, une étincelle s'alluma dans la lanterne crasseuse lui servant de cerveau : Marie-Jeanne était une sorcière. Encore pâle de sa découverte, il alla vite tout confesser à son curé et avant qu'elle n'ait le temps de réagir, Marie-Jeanne était attachée à un poteau, les cheveux coupés.
Elle gémit lorsqu'on alluma le foin sous elle. Elle vociféra des malédictions lorsqu'elle en sentit les premières flammèches. Un éclair de fourrure de jais jaillit lorsque sa robe s'enflamma. Un chat noir détala en hurlant dans la rue.
Chapitre 5 | Le temps fait son oeuvre:
Elle s'empressa de se sauver en partant vers le Nouveau Monde. Pays de Cocagne, au XIVe siècle, surtout lorsque l'on parvint à faire comprendre la spécialité de son métier. Elle louvoya de tribu en tribu, taillant la bavette avec les chamanes puis elle finit par s'installer dans une tribu qui la nomma Kinda et elle vécut, un peu à l'écart d'eux, dans le tipi de Lenno, un des rares hommes qu'elle aima. Il l'aida à améliorer ses talents, notamment le sort de zoomorphisme qui l'avait sauvée du bûcher et elle lui apprit en partie ce qu'elle savait. Puis naquit Winema, suivie cinq ans plus tard de Rowtag. La famille vivait heureuse dans son idylle. Un jour comme un autre, Lenno prit ses armes et quelques provisions : il partait chasser. L'hiver approchait doucement après tout. Il ne revint pas. Était-il blessé ? Était-il mort ? Aurait-il abandonné sa famille ? Nul ne le sut? Winema avait alors 13 ans et Rowtag sept. Ainsi, Kinda prit ses enfants une nuit d'automne, alors qu'ils étaient sous l'effet d'un narcoleptique et les abandonna au campement, avec assez de cadeaux pour les faire facilement accepter.
Sa vie nomade reprit son cours, traversant tout le continent jusquà arriver aux Caraïbes, à l'âge d'or de la piraterie. Et Dieu sait que les pirates sont supersticieux ; elle se mit à la fabrication de gris-gris et de portes bonheurs de tous types, en inventant même parfois. Elle finit par avoir l'envie de se faire elle même femme-pirate. Elle eut le plaisir d'embarquer sous le commandement de Granuaile, plus connue en tant que Grace O'Malley, en se faisant elle même appeller Eryn Ó Murchú. Malheuresement, elle découvrit vite que cette vie trop dure n'était pas faite pour elle : Eryn déserta à Galway.
Chapitre 6 | Les temps modernes:
Dieu ! Comme son pays avait changé en un millénaire ! Elle ne reconnaissait rien ! Elle vécut néanmoins heureuse dans les îles brittaniques, soignant et dansant à tour de bras. Elle vit arriver la révolution industrielle et partit vivre à Londres sous le charmant pseudonyme de Misis Penelope Rosebury, femme d'Harold Rosebury, un faible qui lui donna une fille : Lutta Rosebury. Sa 86e fille et 132e enfant fut l'une de ses favorites, juste derrière Corvus et Winema, si bien que sa mère la jugea assez rusée et digne d'être initiée à la sorcellerie, comme 23 de ses sœurs et 15 de ses frères. Et de tous, Lutta se montra sa meilleurs élève.
Cette époque passa doucement, Lutta se maria et Penelope choisit de disparaître. Le siècle passa, trépidant, grondant du printemps des peuples européen. Sifflant comme une chaudière jusqu'à la Première Guerre Mondiale. La dénommée Abigail O'Neil ne vit pas les combats de ses yeux mais elle se sentit comme un mulot pris au piège, bloquée sous les bombardements et les risques. Plus question alors de voyager.
Dès 1920, elle partit pour un nouveau tour du monde en jurant qu'on ne l'y reprendrait plus. En plein milieu des Trentes Glorieuses et des Années Folles, son errance prit des airs de longue fête, qui prit fin dans les années 1930 lorsque la Deuxième Guerre Mondiale vint la chercher, lui donnant bien du travail dans le soin de blessés de toutes sortes. Quand la Guerre se termina, elle alla passer son aspect froid en Océanie, soleil, koalas australiens, perroquets des îles, vagues hawaïennes et premiers moyens de contraception libres. Téléphone, télévision, ordinateur, eau et électricité courante. Le bonheur de la modernité.
Puis vint l'appel, le 26 avril 2001, à 11h42 heure de Sydney. Elle n'aurait jamais pensé que l'on puisse organiser une traque à une telle échelle, ni avec tant d'acharnement. On était remontée à elle depuis le XVIIe siècle jusqu'au XXIe. Son déménagement fut organisé par BadStories et elle trouva rapidement une boutique miteuse où elle débuta un commerce douteux. Et maintenant ?
QUELQUES LIENS ?
Le "Patron" _ Le dieu de Sweetdreams et le "meilleur rival" de Noreen. Elle s'amuse de son jeu, de sa puissance et de leur étrange relation à distance sans qu'ils n'aient jamais communiqué directement ou qu'ils ne se soient jamais vus. Néanmoins, Noreen le craint plus qu'elle ne l'admet.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] _ Une autre sorcière, que Noreen insulte copieusement, l'appelant régulièrement "la Putain de l'Autre", "La Morue Magique", "La Chienne" ou "la vieille baleine". Une sorcière qui se vend ! Ah ! Laissez la rire ! Noreen la méprise, la moque, lui crache au visage. Elles se seraient rencontrées, une fois. Il est surprenant que cela n'ait pas fini en bain de sang ...
Phantoms _ Les fidèles clébards du Patron à qui elle jette un os, éventuellement, lorsque les molosses pressent trop la femme-chatte. Elle est bien consciente, cependant, qu'elle ne peut rire d'eux ainsi que parce qu'ils sont "enchaînés". Ils l'amuse et l'inquiète. Surtout l'autre, là. "Le croisé". Il est encore plus insolite que ses compères.
Humains _ Noreen aime bien les humains, au fond. Elle doit bien leur accorder ça. Elle est elle-même humaine, après tout. A la différence près qu'elle est éternelle, pas eux. Elle évite de trop s'attacher à eux, en général : ces petites choses sont diablement fragiles.
Touristes _ Alors eux ! Elle les adore ! Voir un touriste téméraire entrer dans son inquiétante bicoque est son régal. Elle les plumes, elle les fait tourner en bourrique, joue avec eux comme une minette avec une souris; elle les amuse et s'amuse follement. Ah ! Si seulement il pouvait y en avoir plus !
Incarnations _ Noreen a une forme ... d'affection pour ces créatures elles aussi éternelles. Elle est curieuse de leurs pouvoirs et est heureuse de leurs concentration dans la ville mais sans plus bien souvent. A la base, seuls les démons et les sorciers, parce qu'ils sont ses "collègues", et les nécessiteux en Bluestrike l’intéressent.
+ D'INFOS
► Adoptable : Oui, voir conditions. ► Jouable par : Tous, sur demande à Arelan MacDuncan (MP). ► RP d'exemple ? : Oui ► Conditions d'adoption : Elle est plus négociable qu'adoptable, je ne compte pas la céder au premier venu pour qu'elle soit abandonnée en deux jours. Disons donc que je dois plus avoir une preuve de votre activité. Si vous êtes nouveau … une recommandation peut-être utile ~ Envoyez un MP à Arelan MacDuncan pour plus de renseignement. Et oui, je suis corruptible.
→ Personnage joué par : …
ECRITS : 230 Le Boss ▲ MC Hoodie ▲
Sujet: Re: Noreen MacDermott - Sorcière Jeu 27 Nov - 13:30
Je peux déplacer ?
PUF : Moonster ECRITS : 438 Localisation : Je te conseille de te retourner. Maintenant.